Le Café de la Gare rend hommage à ceux qui, depuis sa création, ont gardé le courage de s'adresser au public avec le seul talent de leur intelligence, de leur humour et de leur singularité.

Mercredi 13 mai, Saïda Churchill "L'andouillette de Troyes n'aura pas lieu"

Une comédienne prête à tout pour réussir, une tenancière de maison de divertissement vivant sous la hantise de se mettre à dos la plus petite communauté, une narratrice affamée perdue dans son récit. Trois personnages interprétés par une humoriste explorant cette fois le monde impitoyable du stand-up, sous la forme d'un stand-up diablement drôle.


Jeudi 14 mai, Didier Porte ... à droite!

Spectacle pétri de causticité cinglante et truffé de sketches incandescents d'intelligence et de bonhomie.
Conscient qu'un humoriste ne saurait s'abstraire des tendances lourdes de la société, Didier Porte a décidé de changer son fusil d'épaule et de mettre sa verve légendaire au service du juste combat contre le calamiteux pouvoir socialo-pas-communiste-du-tout et ses alliés écolo-gauchisto-fumeurs-de-shit.
Sus à l'oppression fiscale ! Haro sur la bien-pensance et le politiquement correct ! Mort à l'assistanat !
Vive le darwinisme social dans la bonne humeur, la xénophobie joyeuse et la brutalité policière souriante !


Vendredi 15 mai, François Rollin "En roue libre"

"Je fais une heure et demie d'improvisation totale. C'est terrifiant, de la peur animale à l'état pur. J'arrive sur scène sans avoir rien préparé. J'avoue aux gens que je n'ai absolument aucune idée de ce que je vais dire et je laisse venir. Quelquefois c'est réellement magique. Quand c'est fini, je ne me souviens de rien, ce sont les autres qui me racontent. C'est une expérience mystique. "


samedi 16 mai, Albert Meslay "l'Albertmondialiste"

Albert Meslay est Albertmondialiste !
Dans ce nouveau spectacle, il défend avec véhémence et conviction, un courant de pensée personnel qui grossit et qui s’intéresse à une période qui va du Big-Bang à la fin du monde …
Du début de l’écriture, « Les premiers écrits ressemblaient à des emails gravés dans la pierre et à consulter sur place » à la fin du monde. Le jour de l’apocalypse, en un instant, les fortunes des nantis seront anéanties et les dettes des pauvres, annulées : On aura une fin du monde de gauche ! »